Lamberet : nouvelle gamme Frigoline pour VUL

 

Ces nouvelles gammes bénéficient des mêmes avancées techniques que les gammes pour véhicules industriels, qui font la réputation de la marque sur son secteur. Elles sont conçues pour pouvoir équiper tous les planchers et châssis-cabine du marché. Leur particularité est de reprendre des technologies de pointe mises en œuvre par Lamberet sur ses semi-remorques, comme, par exemple, des assemblages mêlant aluminium, acier THLE et inox pour gagner du poids tout en renforçant la rigidité. Les autres axes d’innovation concernent les points suivants :

- L’isolation avec un coefficient record (K=33) grâce à une épaisseur des panneaux composite majorée (faces latérale de 85 mm), un assemblage par collage sans ponts thermiques et une étanchéité renforcée grâce à des joints de portes multi-lèvres similaires à ceux des semi-remorques.

- Une meilleure charge utile grâce à une conception par CAO permettant d’affiner les besoins en matière, et une utilisation renforcée de l’aluminium pour l’accastillage des châssis, le cadre et les équipements.

- Une robustesse similaire à celle des camions, grâce, entre autres, à un nouveau cadre boulonné en acier THLE, aluminium et inox, des plinthes en « T » inversé issues des semi-remorques de 44 tonnes ou encore un contreplaqué renforcé de plancher.

Plus d’économie

Un groupe Froid qui officie dans une caisse dotée d’une excellente isolation, c’est un groupe qui est moins sollicité. Son nombre d’heures de fonctionnement baisse mécaniquement, ce qui espace d’autant les intervalles de révision. Lamberet affirme que dans le cas d’un traiteur ayant un usage intensif de son véhicule et qui effectue habituellement 2 à 3 entretiens de groupe Froid par an, il pourra en supprimer un, ce qui lui fera économiser environ 500 euros. De même, un groupe Froid se déclenchant peu permet de réduire sensiblement la surconsommation liée à cet équipement. Le poids mort d’une caisse Frigoline et de ses accessoires de châssis débute, hors groupe Froid, à 500 kg, ce qui en fait la plus légère du marché.

Lamberet a aussi soigné les atours de ses caisses, avec des moulures de protection en aluminium anodisé qui courent sur tous les angles et, au niveau du cadre arrière – zone la plus sollicitée – de larges butoirs en caoutchouc destinés à absorber les chocs lors des manœuvres. Le « pack Pro » y ajoute des butoirs centraux et des butoirs verticaux partant de la base et montant jusqu’à la première charnière de porte. A propos de charnière, chaque porte en retient 4, histoire d’être toujours parfaitement réglée et donc étanche.

Intérieur complètement revu

A l’intérieur, on note la présence d’un plancher renforcé et, sur la version « Pack Pro », d’un contreplaqué doublé et assemblé en quinconce pour plus de résistance aux lourdes charges. Les versions Pro ajoutent des cornières d’étanchéité d’angles qui évitent à la longue d’endommager les plinthes contre les liquides. Les plinthes constituent d’ailleurs une des particularités de ce matériel, car elles sont intégrées à la structure même de la caisse, comme dans les semi-remorques de poids lourds. De plus, elles possèdent un retour vers l’intérieur, mais aussi vers l’extérieur de la zone de chargement, sur lequel les panneaux viennent s’appuyer. C’est la garantie d’une meilleure étanchéité.

Enfin, Lamberet a conçu une nouvelle poignée dite « easy handle », dessinée pour pouvoir être manipulée par une main gantée et associant en un seul geste le déverrouillage et l’ouverture de la porte. L’opération s’effectue donc d’une seule main, ce qui est pratique lorsque l’on passe ses journées avec des cartons dans les bras. Dernière innovation : l’éclairage intérieur surpuissant à LED, peu énergivore et permettant l’utilisation dans la caisse du lecteur à code barres.

Le matériel est conçu et fabriqué en  France, dans l’un des 4 sites de production que la marque possède dans l’Hexagone. Rappelons en passant que Lamberet est un acteur majeur des véhicules frigorifiques en France, mais aussi en Europe, avec plus de 4 500 véhicules commercialisés l’an dernier, dont la moitié environ étaient des utilitaires légers.

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